« En partie autobiographique »
« J’ai travaillé pendant deux ans à ce roman, en partie autobiographique mais avec aussi beaucoup de fiction », précise l’autrice. « Joli mai » évoque la période de 1968, avec toutes ses turbulences, ses révolutions, ses nouveaux acquis, en particulier pour les femmes. Le tout à travers le prisme des beaux-arts. « J’ai vécu quelques-unes des péripéties qu’a connues mon héroïne, Julie. Les autres, j’aurais aimé les vivre ! », sourit Solange. La couverture de ce roman a été réalisée par le fils de l’écrivaine, Yann Durand, plasticien. Il est possible de se procurer « Joli mai » à l’espace culturel de Concarneau et de Quimperlé, à la Pension Gloanec, à Pont-Aven, et prochainement à la librairie Quartier Lointain, de Trégunc. Solange Durand envisage aussi plusieurs séances de dédicaces cet été.